POPULATION : 48, de Adam Sternbergh, aux Éditions Super 8 :

Étant une (grande) fan des séries à la sauce américaine, je ne pouvais qu’adhérer à cette lecture.
Elle en ferait d’ailleurs une excellente, de série !

Résumons : vous prenez un petit groupe de personnes à la mémoire effacée, une petite « ville » cachée au fin fond du désert du Texas, coupée de tout contact extérieur et menée par un shérif énigmatique, un mystérieux Institut qui dirige tout ça de loin, un jeune enfant, et des agents de liaison froids et tatillons.

Vous mélangez bien tous les ingrédients, vous saupoudrez d’une série de meurtres logiquement inexplicables, vous ajouter une grosse pincée de personnages hauts en couleurs et aux réparties bien senties, une cuillère à soupe de gros secrets, et une franche rasade de mensonges encore plus gros. Portez à ébullition et…
Bienvenue à Caesura (surnommée Blind Town) !

Parmi les habitants, pas moyens de savoir qui est qui, même eux ne le savent pas. Mais la nature humaine est bien plus tenace que de simples souvenirs oubliés.

C’est pour cela que Blind Town se plie à 3 règles :

– Aucune visite. – Aucun contact. – Aucun retour.

Sauf que, tout le monde le sait, les règles sont faites pour être contournées.
Et la charmante petite bourgade va rapidement se transformer en village du Far-West nouvelle génération.
Là où les méchants sont très méchants, et les gentils pas réellement gentils.

Alors ici, quand l’ennui menace, ça complote, ça carbure au whisky et à la clope, et, accessoirement, ça dézingue à l’occasion.

Bref, vous l’aurez compris, pour nous pas moyen de s’ennuyer une seule minute avec ce roman !

L’écriture d’Adam Sternbetgh est dynamique, terriblement drôle, et diablement addictive.

Il adore de toute évidence faire tourner son lecteur en bourrique, et il le fait tellement bien que l’on en redemande !

Vous ferez des dizaines de suppositions qui s’avéreront fausses dès le chapitre suivant, et quand vous penserez ENFIN avoir tout compris, vous serez encore loin du compte !

En conclusion, en commençant ce livre, preparez-vous à être surpris, à être amusé, à ne plus savoir à qui vous fier, et surtout à être incapable à être incapable de le refermer avant la dernière des 419 pages, qui de toutes façons fileront beaucoup trop rapidement !

Un roman prenant, original, drôle, et au suspense omniprésent.

Un livre qu’il ne faut pas manquer ! Il sort aujourd’hui, donc n’hésitez pas et foncez !

Je remercie les Éditions Super 8 pour cette lecture, que je recommande vivement à tous les lecteurs qui aiment l’adrénaline et l’humoir noir.

4ème de Couv : 

Tout le monde est coupable. Personne ne sait de quoi.

Caesura Texas – une minuscule bourgade clôturée, au fin fond du désert. Population ? 48 habitants. Des criminels, a priori. Ou des témoins. Comment savoir ? Tous ces gens ont changé d’identité, et leur mémoire a été effacée. Pour leur bien. Dans l’optique d’un nouveau départ.
En échange de l’amnistie, les résidents doivent accepter trois règles simples : aucun contact avec l’extérieur, aucun visiteur, et aucun retour possible en cas de départ. Une expérience unique, menée par un mystérieux institut. Pendant huit ans, tout ce petit monde est resté à peu près en place. Jusqu’à aujourd’hui. Errol Colfax, en effet, s’est suicidé… avec une arme qu’il n’aurait jamais dû posséder. Puis Hubert Humphrey Gable est assassiné. Calvin Cooper, le shérif local, est contraint de mener l’enquête. Ce faisant, il risque de déterrer des secrets que l’essentiel des habitants – y compris lui-même – auraient préféré voir rester enfouis. Trop tard pour faire marche arrière. Bientôt, un irrépressible déferlement de violence va s’abattre sur les rues poussiéreuses de Caesura…
Férocement drôle, comiquement féroce, Population : 48 – le troisième roman d’Adam Sternbergh – est aussi un redoutable page-turner où, quelque part entre Tarantino et L a Quatrième Dimension, aucun personnage n’est vraiment ce qu’il paraît être.

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Lien vers les Editions Super 8 : Cliquer ICI

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